Numéro |
Matériaux & Techniques
Volume 91, 2003
Métaux ultra purs
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Page(s) | 26 - 30 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/mattech/200391120026s | |
Publié en ligne | 21 juin 2017 |
Determination of traces of arsenic, antimony and tin in high purity iron and low alloy steel by ICP optical emission spectrometry after separation by co-precipitation with manganese(ll) dioxide
Traces d’arsenic, d’antimoine et d’étain dans un fer de haute pureté et un acier faiblement allié, analysées par ICP-OES après séparation par coprécipitation avec du dioxyde de manganèse
Institute for Materials Research, Tohoku University, Sendai 980-8577, Japan
As, Sb and Sn traces in high purity iron and low alloy steel were analysed by ICP optical emission spectrometry (ICP-OES). The optical emission was detected in axial view through argon plasma. In the iron-free sample solution, the atomic emission intensities of the trace elements were about 1. 3-1.5 times stronger than in a sample solution containing 1g of iron as main component, and the background emission intensities were kept below 20% of those in the sample solution containing 1 g of iron. Therefore, in order to determine As, Sb and Sn traces, iron as main component must be separated from the sample. As separation method, manganese dioxide (MnO2) co-precipitation method was applied. The trace elements were precipitated together with MnO2 which was formed by reaction of Mn(II) with Mn(VII) in nitric acid medium, and then the trace elements were separated from iron which hardly precipitated with MnO2. By removal of iron as main component, traces of As, Sb and Sn in iron and steel samples could be detected at levels of 0.X mg kg–1.
Résumé
Les traces de As, Sb et Sn dans un fer de haute pureté et dans un acier faiblement allié ont été analysés par ICP-OES. L’émission optique était détectée en vision axiale dans un plasma d’argon. Dans une solution sans fer, les intensités d’émission des éléments traces étaient 1,3 à 1, 5 fois plus fortes que dans une solution contenant 1 g de fer comme constituant principal et le bruit de fond restait à 20 % plus bas que celui de la solution contenant 1 g de fer. C’est pourquoi, pour analyser les traces de As, Sb et Sn, le fer doit être séparé de l’échantillon. La coprécipitation par le dioxyde de manganèse (MnO2) a été choisie. Les éléments traces précipitaient avec MnO2 qui était formé par réaction de Mn(II) avec Mn(VII) en milieu acide nitrique et ensuite, les éléments traces étaient séparés du fer qui précipite difficilement avec MnO2. En séparant le fer comme composant principal, les traces de AS, Sb et Sn dans le fer et l’acier ont été détectée à des niveaux de O.X mg kg–1.
© SIRPE 2003
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